Velvet House

Le Vaudoué, Fôret de Fontainebleau

HO-HO|2506

Services | Concept, Réalisation

Typologie | Hospitality

Surface | 85 m²

Localisation | Le Vaudoué, Forêt de Fontainebleau

Aux côtés de l’entrepreneur Gaspard Konrad,

fondateur de Velvet, nous avons imaginé La Maison du Vaudoué comme le premier chapitre d’une collection de refuges singuliers ancrés en pleine nature.
Située en lisière de la forêt de Fontainebleau, cette maison de 4 chambres, pensée comme celle d’un garde forestier incarne une nouvelle manière de se ressourcer : un lieu d’accueil, de silence et de partage, où l’architecture s’efface pour laisser place au paysage, et où chaque détail raconte une histoire.
Un cocon chaleureux, à la fois brut et raffiné, conçu pour se déconnecter du quotidien… et se reconnecter à l’essentiel.

Notre enjeu : insuffler à cette maison contemporaine et froide de l’âme et l’ancrer dans la forêt qui l’entoure.

Nous avons repensé les matières, les volumes, les ouvertures, pour qu’elle s’efface dans le paysage et s’imprègne de son environnement.
À l’intérieur, le bois, le cuir, les objets chinés et les textures patinées composent un univers profondément vivant.
Après des mois de réhabilitation, la maison semble habitée, vivante, pensée comme si elle avait toujours été là.

À l’extérieur, un bardage en bois brûlé

à couvre-joints verticaux fond la silhouette de la maison dans les lignes de la forêt.
Autour de la maison, un vaste jardin s’ouvre sur un champ de lavande. Un bain froid et une douche extérieure, dissimulés entre les feuillages, invitent à renouer avec les éléments, tandis qu’un sauna niché en pleine forêt offre une expérience enveloppante et régénérante.

À l’intérieur, la matière dialogue avec l’environnement : bois patiné, cuir naturel, pierre texturée, métal sombre, un mix and match subtil entre éléments chinés et mobilier sur mesure.
Tout a été pensé pour donner une âme au lieu — loin du minimalisme, mais sans surcharge.

Le cœur de la maison
bat autour de la cheminée, véritable point de gravité du salon. Une banquette basse, une niche en pierre pour entreposer les bûches, des assises enveloppantes : ici, tout invite à ralentir, à observer, à se retrouver.
Les matériaux sont rustiques mais chaleureux. Le parquet à nœuds, les tissus texturés, les poufs en cuir, les tapis graphiques ou organiques forment un univers visuel qui raconte la vie en forêt, l’art du détail, et le confort assumé.

Chaque chambre propose une immersion sensorielle unique : une chambre vert Velvet aux tonalités profondes, une autre autour des fruits rouges et du cuir, une troisième inspirée des herbiers, aux teintes beige et lumineuses. Chacune raconte une facette du territoire et l’histoire du garde forestier.

Chaque chambre s’imprègne de la nature alentour : feuillage profond, fruits rouges, herbiers, jeux de textures évoquant les mousses, les écorces et les champignons.
La maison devient un prolongement du sol, des sous-bois, du silence. Elle accueille les saisons, les promenades, les retours de balades. Et célèbre l’art de vivre dehors, pour mieux savourer le dedans.